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Fant Info
30 octobre 2004

Interview de son Altesse Princière

FantInfo: Votre Altesse Princière, je vous remercie d'avance de m'accorder cet interview pour établir un premier bilan de la Principauté un an après sa création.

Pour commencer, pourriez-vous dire aux fantispais quel est la situation micromondiale de la Principauté?

SAS: La Principauté de Fantispa existe depuis un an. Pendant cette année, Fantispa n'a cessé de s'ouvrir vers les autres pays en proposant des traités, en participant aux débats de l'ONV, en devenant membre de l'ONV, en collaborant avec Skotinos... Cependant, notre pays n'a pas encore une influence importante au niveau micromondial. Ce manque d'influence provient du fait que les citoyens de la Principauté ne sont pas assez actif sur la ML et ce qui fait la puissance d'un pays, c'est le nombre et l'activité de ses citoyens.

FantInfo: A ce propos, pourriez-vous donner le nombre exact de citoyens de la Principauté?

SAS: Actuellement, et d'après les chiffres officiels, le nombre de citoyens en Fantispa s'élève à 12. Ce nombre est le plus important que la Principauté ait eu depuis l'année dernière. Le problème, comme je vous l'ai dit à l'instant, c'est que tout ces citoyens écrivent peu ou pas de messages sur la ML.

FantInfo: Il y a quelques semaines, M. De Fortia proposait une loi obligeant un minimum de messages par mois. Ne pensez-vous pas que cette loi pourrait être remis au goût du jour?

SAS: En effet, M. De Fortia avait proposé une loi qui imposait un minimum de messages sur la ML par mois et par citoyen. Cette loi avait été ensuite retiré après l'avis du PMR. Je ne pense pas que cette loi sot une bonne idée, car le fait de sanctionner un citoyen qui écrit peu de messages ne pourra engendrer que le départ de ce citoyen et ceci ne peut pas être supporté par la Principauté.

FantInfo: Maintenant, pour changer de sujet, je pense que tous les citoyens aimeraient connaître l'avenir économique du pays. Depuis un an, l'activité des entreprises fantispaises n'a pas bougé, et le taux de croissance de Fantispa est presque nul. Pouvons nous espérer une relance de l'économie? Et avez vous des projets pour relancer l'économie?

SAS: Ces questions sont légitimes et concernent directement les habitants de la Principauté, car notre pays est l'un des pays les plus économiquement faible. Le nombre des entreprises fantispaises est assez réduite et elles appartiennent soit à l'Etat, soit à Fivendi Universal. Cela veut dire qu'il n'existe que deux investisseurs en Fantispa.

C'est pourquoi, j'ai l'intention de changer le fonctionnement bancaire qui simplifiera les échanges. En effet, tous les échanges de devises se feront sur la ML éco de Fantispa. Les comptes bancaires seront gérés par la Banque de Fantispa. Je travaille aussi sur une refonte du texte de l'économie, mais ce projet est plus délicat à manoeuvrer que le précédent.

Par contre, le plus important des projets est de limiter les entreprises autorisées à vendre des PA et des PE aux citoyens. En effet, chaque citoyen a une consommation minimale à respecter. Et bien j'ai l'intention que cette consommation soit prélevée directement sur les salaires. En réalité, ce sont les employeurs qui payeront la consommation minimale. En ce qui concerne les chômeurs, ils devront effectuer l'achat eux-même. Les PA et PE seront donc achetés par les entreprises. On aura donc un dynamisme naturel entre les entreprises.

FantInfo: Votre Altesse, quand vous parlez de la gestion des comptes par la Banque de Fantispa que voulez vous dire? Est-ce que la Principauté va abandonner le système TRANSAC?

SAS: C'est tout simple. En effet, le système TRANSAC est un bon outil, mais difficile à gérer puisqu'il est indépendant de Fantispa. Mon idée consiste en la limitation du nombre de compte TRANSAC pour Fantispa. En fait, seul la Banque de Fantispa et d'autres établissements bancaires auront des comptes TRANSAC, alors que les entreprises et les particuliers auront des comptes à la Banque de Fantispa ou dans d'autres banques s'il y en a d'autres.

FantInfo: Après l'économie, je suis sûr que nos concitoyens aimeraient connaître votre avis sur le développement de la culture de Fantispa.

SAS: La culture est un élément indispensable pour toute nation qui veut rester uni. La culture d'un pays, c'est ça qui stimule le patriotisme, l'appartenance à une nation et non plus à une entité banale. Les us et coutumes d'un paysforgent les traditions qui font que les pays se diversifient. C'est dans cette voie là que je veux mener la Principauté. Il ne faut pas que la culture fantispaise meurt dans l'oeuf. Il faut que les citoyens intéressés s'inscrivent à l'Université, écrivent des textes sur Fantispa, publient des livres... Mais la culture, c'est aussi la religion. La Principauté est depuis longtemps un pays alhamiste, mais les autres religions sont tolérées. Un plus grand attachement à la religion pourrait amener de nouvelles traditions plus religieuses, mais qui permettraient à la Principauté de grandir culturellement.

Mais quand on parle de culture, on peut aussi parler de sport. Le sport est un élément important pour les pays peu développés du micromonde. Nous avons la chance de posséder un grand club avec l'AS Tétaou, mais il serait intéressant que d'autres clubs naissent à travers le pays. L'AS Tétaou permet à Fantispa d'avoir une crédibilité micronationale au près du Zollernberg grâce au championnat de Hözkey. Une participation importante de la part de Fantispa dans la future organisation micromondiale du sport ne pourra qu'être bénéfique pour notre nation.

FantInfo: Pour finir, il y a depuis quelques semaines une crise à Ys. Cependant, la Principauté n'a toujours pas donné sa position sur les problèmes connues par Ys qui a pourtant signé un Traité avec Fantispa. Est-ce que vous pouvez nous dire vos intentions pour résoudre ce problème?

SAS: Cette crise est une crise interne à un pays ami. On ne peut en aucun cas intervenir, car le Traité de reconnaissance mutuel ne prévoit pas le cas où le gouvernement en place se ferait renversé. Tout ce que nous pouvons faire, c'est d'aider les yssois désireux de fuir leur pays à le faire et d'accueillir les yssois qui le veulent.

FantInfo: Merci beaucoup pour votre collaboration.

SAS: Merci à vous.

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